Code à barres 1D :
C'est celui que vous connaissez le mieux, celui que vous retrouvez sur la plupart de vos produits de consommation. Le code à barres a été inventé en 1952, mais c'est vers les années 70 qu'il a commencé a être utilisé dans le commerce via la normalisation "UPC" (Universal Product Code).
Voir l'article sur Wikipedia
Code barres 2D :
Dès les années 80, des ingénieurs ont cherché à augmenter les capacités de stockage d'information des codes 1D et ont inventé les premiers codes bi-dimensionnel dit "codes 2D".
En plus d'une contenance supérieure, ces codes offrent l'avantage d'être plus faciles à décoder par les caméras numériques (comparées aux douchettes laser) qui avaient, jusqu'il y a peu de temps encore, du mal à distinguer les différentes barres d'un code unidimentionnel (1D).
Voir article sur Wikipedia
Les formats de codes barres :
Pour les 1D :
EAN/UPC 8 12 et 13 ,
ISBN ,
Code 39 et
Code 128
Pour les 2D :
Datamatrix,
QRcodes,
le PDF 417
Formats libres ou privés:
Le Datamatrix, premier système de code barres à deux dimensions, est né dans les années 80 et appartient au domaine public. Depuis son invention, bien des formats de codes différents ont été créés. La plupart sont brevetés et appartiennent à des sociétés privées telles qu’Adobe, Microsoft, Toyota ou sont gérés par des associations d’opérateurs mobiles historiques. Certains formats sont libres de droit (pas de redevance), tel que le QRcode de DENSO WAVE et d’autres sont complètement privés. D’autres encore ne sont que des déclinaisons à visée fortement nationale, tel que le Flashcode (déclinaison française du Datamatrix, propriété de l’AFMM (Orange, SFR, Bouygues). Ces formats propriétaires nécessitent souvent l'usage d'un lecteur approprié et ne sont donc pas, par nature, universels.
MyTAGG choisit la liberté, la fiabilité et l’universalité pour l'édition de ses TAGGs en mettant à l’honneur le QRcode car c'est le plus efficace et le plus répandu.
De plus ils incluent l’algorithme, dit de "Reed Solomon", qui permet de recomposer une partie de l’information en cas de dégradation visuelle du code (jusqu’à 30% de sa surface selon les cas).